Catégorie : Formation

L’écoute active et authentique est un ensemble de comportements qui vous permettent, pendant un échange, de tendre vers une meilleure compréhension de votre interlocuteur et de ses motivations. Lorsque vous communiquez avec autrui, si vous laissez traîner vos oreilles autour des conversations de tous les jours vous remarquerez rapidement que le niveau d’écoute est relativement bas. Chacun hochant poliment de la tête quand l’autre se met à raconter une anecdote personnelle, avant de se faire tranquillement couper la parole par le fameux « Ha bah moi c’est pareil (…) ! ».

Véritablement écouter, c’est dans un premier temps laisser l’autre terminer entièrement ce qu’il est en train de dire. Cela semble aller de soi, mais soyez attentif au nombre considérable de personnes qui terminent les phrases à la place d’autrui, dévoilant leurs interprétations propres. De plus gardez à l’esprit que les éléments les plus important d’une conversation se cachent souvent dans les dernières phrases du discours. Poser des questions ouvertes, re-questionner les réponses, être attentif aux éléments du langage non verbal de votre interlocuteur : L’écoute active porte bien son nom.

Il ne s’agit pas de parler le moins possible (quoi que) mais d’avantage de laisser plus de place à l’autre pour qu’il puisse s’exprimer pleinement. En maîtrisant votre écoute active, vous apprendrez à maîtriser un puissant outil de communication.

Nous avons tous éprouvé la peur de parler en public au moins une fois : lors d’un entretien, d’une présentation ou d’une interrogation, avec des manifestations diverses : accélération du rythme cardiaque, transpiration accrue, assèchement de la bouche, perte du fil de la pensée, etc.

Autant d’effets pas toujours très agréables à gérer lorsque l’on doit convaincre un auditoire ou remplir ses fonctions de manager…

Qu’est ce que la glossophobie ?

Selon Santemedecine-net, la « glossophobie désigne la peur de parler en public, face à un groupe plus ou moins important. Cette phobie est particulièrement répandue, puisque l’on considère que les trois-quarts de la population ont une certaine forme d’anxiété à l’idée de s’exprimer devant un public, quel que soit le nombre de personnes. »

C’est notre cerveau qui est au cœur de ces réactions. La peur générée déclenche une sécrétion d’adrénaline qui prépare votre corps à passer en mode « fuite » ou « combat ». Un héritage ancestral très pratique face à un prédateur mais dont l’efficacité reste à prouver dans le cadre de la communication.

Comment y remédier ?

Vous ne pouvez pas agir sur les effets de la peur, votre cerveau autonome s’en occupe pour vous, au même titre que les battements de votre cœur. Mais vous êtes libre de vous demander :

• Pourquoi le fait de parler en public déclenche le mécanisme de la peur ?
• Pourquoi mon cerveau a-t’il associé « prise de parole en public » et « danger » ?
• Comment ne plus être victime de ces effets paralysants ?

L’approche sera différente en fonction des objectifs de chacun mais la base méthodologique reste la même. Elle passe par la conscientisation de ses propres qualités et son renforcement par la pratique et l’acquisition de techniques.

Gérant, responsable, administrateur, chef d’équipe, entraîneur ; qu’il soit à la tête d’une équipe de vente ou de sport, depuis toujours le manager fait en sorte que ses équipes atteignent leurs objectifs.

À l’image de notre société, l’exercice de cette fonction a beaucoup évolué. Le rapport au monde du travail a changé depuis ces « chers » Taylor, Ford ou Fayol et aujourd’hui les managers vont devoir relever le défi imposé naturellement par les jeunes générations. Pourquoi naturellement ? Parce que ce défi est induit par de nombreux facteurs socioculturels qui dépassent largement le rapport aux nouvelles technologies. Au-delà même du concept de génération, c’est d’une nouvelle culture de l’entreprise dont ils sont porteurs.

Les aspirations et les motivations de ces fameux Y et Z se sont construites sur des modèles bien différents de ceux de leurs prédécesseurs ou même de leurs parents.

Aujourd’hui, ils cherchent à faire coïncider leurs valeurs avec leur travail.

Êtes-vous prêt à les accompagner ?

• Comment construire sa légitimité avec cette nouvelle génération ?
• Quels rapports à l’autorité ont-ils développés ?
• Quels sont les différents critères de motivation et de fidélisation de cette génération ?
• Pour un jeune, qu’est-ce qu’un bon manager ?